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 faites l'amour pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires - dani

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Message (#) Sujet: faites l'amour pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires - dani   faites l'amour pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires - dani EmptyDim 12 Mai - 21:10

« DANIELLE GRACE MARSDEN »




✧ ✧ ✧

~ LET MYSELF FALL~
PRENOM : Danielle Grace, choix de sa mère qui était seule au moment de la grossesse et de l'accouchement. NOM : Marsden, nom qu'elle tient de son père et qu'elle exècre plus que tout. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Premier mai, Miami. ORIGINES :Américaine à cent pour cent, de toute manière même si c'était pas le cas, on ne parlait jamais de la famille à la maison. AGE : Vingt-cinq ans. SITUATION : Récemment célibataire, enceinte de deux mois. PROFESSION : Serveuse. CARACTÈRE : Sensible - Curieuse - Loyale - Jalouse - Persévérante - Manque d'estime envers elle-même - Impulsive - Secrète - Calme. GROUPE Neutral. VOTRE AVIS SUR LES RÉCENTS ÉVÉNEMENTS A LA RÉSIDENCE : Tout cela lui importe peu, elle a des problèmes beaucoup plus important pour le moment.


~ INTO THE FIRE, LIFE IS SHORT ~
J'ai mal, terriblement, mais je garde la bouche bien fermée afin de ne pas faire entendre les sanglots qui veulent passer mes lèvres, cela ne ferait que le rendre plus furieux et je n'ai pas envie d'en recevoir plus. Cela ne fait même pas deux jours qu'il est rentré, j'ai senti mon coeur se serait douloureusement quand maman est entrée avec un grand sourire et nous à annoncer la grande nouvelle avec à mon frère et moi. « Papa rentre les enfants, nous allons pouvoir reprendre notre petite vie de famille. » Je n'ai rien dit, du haut de mes dix ans j'ai compris depuis longtemps que notre cellule familiale à éclater depuis longtemps, mais je la laisse croire ce qu'elle veut, ça la rend heureuse. J'ai bien vu le regard de mon frère s'éclairait en entendant ses mots, il faut avouer qu'il a toujours eu une bonne relation avec notre géniteur, peut-être tout simplement parce que c'est un garçon. Autant dire que moi j'appréhendais déjà les retrouvailles, je ne le connaissais pas vraiment au bout du compte et il n'avait jamais cherché à comprendre qui je pouvais être. Je crois qu'à ses yeux, je ne suis qu'une erreur de la nature et il me le faisait toujours bien comprendre, comme maintenant. Pourtant, je ne pense pas avoir fait quelque chose de mal puisque j'étais assise à la table de la salle à manger en train de faire mes devoirs. Travailler n'est pas quelque chose de terrible après tout, mais à ses yeux oui, surtout quand cela vient de moi. Il a soupiré pendant un bon moment avant de se mettre sur ses jambes et s'approcher de l'endroit où je me trouvais avant de prendre la parole. « Qu'est-ce que tu fiches encore ? » J'ai gardé le silence pendant un moment, ne sachant pas si je devais prendre la parole ou pas et c'est donc d'une petite voix que j'ai répondu. « Mes devoirs de mathématiques. » Il a rigolé d'un rire sans joie avant d'attraper mon cahier pour y jeter un coup d'oeil avant de l'envoyer valdinguer de l'autre côté de la pièce sans même que je me rende compte de son geste. Pourquoi est-ce qu'il faisait ça, c'était la grande question. Je n'ai rien dit pourtant, parce que je savais qu'il cherchait que je me rebelle afin de pouvoir s'en prendre à-moi, mais j'étais moins bête que lui. Mais ça n'a pas semblé suffire, il a attrapé ma queue-de-cheval et m'a tiré si fort qu'un cri à passer mes lèvres et que j'ai récolté la première gifle de la journée. « Pourquoi travailler quand on sait tous que tu ne seras qu'une misérable comme ta mère, capable de ne rien faire de ses dix doigts. » J'avais envie de rétorquer que c'était elle qui nous faisait vivre pendant qu'il vivait comme un pacha entre quatre murs, mais cela ne ferait qu'augmenter sa fureur et je savais qu'il pouvait complètement déraper. Toutefois, je sais qu'il n'a besoin de rien pour s'en prendre à-moi et les coups commencent à pleuvoir et les souvenirs affluent, les horreurs qu'il m'a déjà fait vivre auparavant. Mon père est un monstre sans coeur. Je le laisse prendre son plaisir pendant je ne sais combien de temps avant que je ne sente plus rien que le silence autour de moi. Un bruit dans la cuisine me fait comprendre que ma mère est revenue des courses, c'est donc ce qui l'a poussé à mettre fin à son petit jeu favori. Je me relève avec difficulté, la douleur est terrible, je crois bien que c'est la première fois que je la ressens de cette manière. Avant de me rendre dans ma chambre, je m'arrête dans l'embrasure de la porte, mais ma mère ne se retourne même pas, mais je sais qu'elle a conscience de ce qui vient de se passer. Je la déteste pour ça, pour être faible et se laisser dominer. Une larme coule sur ma joue et je pars tranquillement vers mon antre. Une fois arrivée, je ferme la porte avant de me laisser tomber sur mon lit pour laisser les larmes couler librement et je fais ce vœu qui est le même depuis que je suis toute petite. « Faites qu'il reparte bientôt, s'il vous plaît, faite qu'il reparte bientôt. »

Je ne dis pas un mot en ouvrant la porte de l'appartement, de cet endroit qui est en partie « mon chez moi » depuis le jour de ma naissance. Ça n'avait jamais été très luxueux et je n'avais jamais pris le risque d'y inviter qui que ce soit, à part ceux en qui j'avais réellement confiance et qui, je le savais, ne viendrais jamais me juger. À chaque fois, c'est quand il n'était pas présent, j'avais beaucoup trop honte de lui pour qu'un de mes amis se retrouve face à lui. Quand j'étais plus jeune, avant que je comprenne que mon père était un monstre, je me demandais souvent pourquoi nous n'étions pas comme les autres familles. J'avais eu le droit à l'excuse du travail loin de nous, avant que les voisins pas très discret, ne me fasse comprendre sans réellement le vouloir que j'étais la fille d'un simple taulard et d'une femme soumise. C'est quand j'ai eu huit ans que j'ai commencé à espérer que ma mère trouve enfin le courage de prendre la fuite avec nous pour nous donner un semblant d'avenir. Mais ce n'est jamais arrivé, alors je me suis faite le serment de ne jamais tomber dans le même genre de relation que mes parents et de partir dès que je le pourrais pour réellement me construire. Ce n'est pas pour autant que je n'aime pas ma mère, oh que non, elle était toujours là quand lui était en train de croupir à l'ombre pour une période indéterminée. Je referme derrière moi, en silence, mais je sens tout de suite que quelque chose n'est pas pareil que quand je suis partie. Mon coeur se serre quand je remarque cette silhouette installer sur le canapé et j'ai tout de suite envie de faire demi tour afin de pouvoir prendre la fuite. C'est sans compter sur mon frère qui me remarque tout de suite. « Dani, regarde qui est de retour. » Plus moyen de faire marche arrière, le sourire qui peint son visage montre tout de suite qu'au contraire de ma personne il est plus qu'heureux de le revoir parmi nous. Ils ont toujours été très proche, ils s'entendaient tellement bien, comme cela devait être le cas pour toute relation père/fils. Je m'approche doucement, instaurant tout de même une distance de sécurité entre lui et moi. « Tu n'as pas l'air heureuse de voir ton père, voilà qui est sympathique après ne pas m'avoir vu pendant huit mois... Je n'ai pas apprécié que tu refuses de venir me voir au parloir, c'est indigne d'une fille. » La peur est de retour, j'avais presque oublié ce que c'était, mais je ne fais rien paraître, car c'est ce qu'il veut et je le sais très bien. C'était bien la seule chose que je devais tenir de lui, pas réellement une fierté mais c'était d'une certaine utilité lors de ce genre de moment. Tout de suite je remarque l'éclat de colère dans son regard, je sais déjà que le calvaire est de retour. « Tu étais où, tu crois que c'est bien pour une fille de ton âge de rentrer à cette heure ? » Mon regard se pose tout de suite sur l'horloge qui indique tout juste vingt-et-une heure, un horaire plus que décent. Mais pas pour lui. « J'étais chez une amie, nous avons travaillées sur un devoir que nous devons bientôt rendre... » Je n'ai même pas fini ma phrase qu'il est déjà debout et s'approche de moi, un air tendu et méchant sur le visage. Il repousse une mèche de cheveux qui me tombent devant les yeux avant d'attraper mon menton pour plonger mon regard dans le sien. « Tu ressembles bien à ta mère, une vraie petite salope. » Du mieux, je retiens ma haine contre l'insulte et surtout les larmes qui menacent de couler, mon frère s'est approché pour jauger la situation et je suis surprise d'entendre sa voix. « P'pa, arrête. » Notre père le stoppe d'un geste et je sais très bien qu'il ne fera pas plus pour prendre ma défense, parce que malgré son gabarit, lui aussi à peur de ce monstre. Il continue son petit jeu d'intimidation avant de laisser glisser ses yeux malsains sur mon corps et de pousser un soupir. « C'est bien ce que je disais, tu es vraiment comme ta pauvre mère, j'espère au moins que le pauvre idiot qui te saute prend son pied. » Un rire cynique passe ses lèvres et je tourne le visage afin qu'il ne me touche plus, geste que je regrette en sentant la gifle sur ma joue et mon corps touchait le sol à cause du choc. Il est prêt à m'en remettre une, mais le bruit de la porte d'entrée l'arrête dans son geste et je lève les yeux pour voir qui est mon sauveur. Tommy, le meilleur ami de mon frère est sur le seuil de la pièce avec un air étrange sur le visage, observant la scène. Mon coeur manque littéralement plusieurs battements et je baisse les yeux pour qu'on ne voie pas les larmes qui coulent. « Va dans ta chambre, que je te voie plus espèce de petite traînée. » Je ne demande pas mon reste et court dans ma chambre, le diable est de retour et mon calvaire ne fait que commencer.

« Maman, j'ai besoin de toi. » Ma voix est tremblante, j'ai longtemps hésiter à prendre mon téléphone afin de l'appeler pour du réconfort auprès de quelqu'un. Les douleurs avaient commencé le matin même, après que j'ai fini de prendre ma douche, avant que je ne parte pour le travail. Cela avait été plutôt supportable au début, j'avais donc occulté avant que peu avant onze heures cela devienne tout bonnement horrible et que je demande à mon patron de pouvoir partir. Ce dernier avait été compréhensif et m'avait donné le reste de ma journée. Sans prendre le temps de faire quoi que ce soit d'autre, j'avais pris la direction de l'hôpital où j'avais attendu encore près d'une heure avant qu'on ne puisse m'examiner. J'ai pensé à une crise d'appendicite avant que l'urgentiste ne me fasse l'annonce, près de trois heures plus tard. Les larmes avaient coulé toutes seules et j'avais attendu le feu vert afin de pouvoir partir. Ma mère était arrivée une demi-heure après mon appel, complètement affolé de me savoir à l'hôpital. Ne voulant pas qu'elle se fasse plus de mourront, je lui avais donné une excuse bidon et pourquoi je n'avais pas voulu déranger personne avant d'avoir le droit de rentrer chez moi. « La prochaine fois préviens-moi, je serais toujours là pour toi. » Je soupire avant d'acquiescer en m'asseyant dans la voiture. La douleur s'est calmé, mais il est clair que ce n'est pas seulement physique et qu'au niveau psychique c'est encore bien pire. Le trajet ce fait dans le silence et une fois à destination, je remercie ma mère et dépose un baiser sur sa joue avant de sortir. Tout est calme dans l'appartement, petit nid que je partage depuis près d'un an avec Tommy, mon petit-ami. Je n'ai beau avoir que dix-huit ans, je sais que je suis vraiment prête à vivre de cette manière et je n'en vois pas vraiment d'autre au bout du compte. C'est comme une automate que je prends la direction de la chambre et je me laisse tomber sur le lit avant de laisser la douleur ainsi que la peine prendre totalement possession de mon corps. Les larmes reprennent de plus belle et je suis tellement prise par mes sentiments que je n'entends pas le bruit de la porte d'entrée avant d'entendre sa voix m'appeler. « Chérie, je suis rentré. » Je me redresse et essuie rapidement mes yeux en espérant qu'il ne voie pas que j'ai pleuré, mais c'était une chose vaine et j'en est pleinement conscience. Mon courage à deux mains, je le rejoins dans la cuisine en faisant le moins de bruit possible en croisant les doigts pour qu'il ne remarque pas tout de suite ma présence. Mais la chance n'était pas de mon côté. « Je suis passé au bar tout à l'heure, le patron m'a dit que tu ne te sentais pas bien, alors je suis passé ici, mais il n'y avait personne... Tu peux m'expliquer où tu étais ? » La colère est palpable dans sa voix et la culpabilité prend encore une fois le dessus, une nouvelle fois je dois retenir mes larmes tout en essayant de lui expliquer. « Je... J'étais à l'hôpital. » Au dernier mot, il se retourne et remarque enfin mon état plus que déplorable, il s'approche et me prend dans ses bras. Il me berce et pour la première fois de la journée, je me sens bien et je laisse ma tête reposait sur son torse. « Tout va bien ? » Ma gorge se serre douloureusement et je ne peux que secouer la tête pour lui faire comprendre que non, je savais déjà qu'il allait m'en vouloir, terriblement. « Je suis désolée, Tommy, tellement, je ne voulais pas que cela arrive. » Il est perplexe, je le sens tout de suite et je n'ai pas besoin de relever la tête pour le savoir. C'est ce que j'aimais dans notre relation, le fait qu'il n'y avait pas besoin de mot pour qu'on se comprenne. « De quoi tu parles ? » Je me détache de son étreinte, appréhendant sa réaction avant de lui dire enfin ce qui me pèse sur le coeur depuis plusieurs heures. « J'ai perdu le bébé. » La main atteint ma joue avant même que je n'ai le temps de comprendre ce qui est en train de m'arriver, j'ai l'impression d'être encore une fois devant mon père. C'est une sensation plus qu'horrible, mais le pire c'est que je comprends pour la première fois ma mère, pourquoi elle n'avait pas eu le courage de partir. Je ne bouge pas d'un pouce avant de sentir ses bras m'attirer contre lui et ses lèvres se poser partout sur mon visage. « Je suis désolé, ma chérie, ce n'est pas de ta faute... Excuse-moi. » Je secoue positivement la tête avant de renifler. « Je te pardonne. »

Je suis assisse là, sur notre canapé, à attendre je ne sais trop quoi. Ma vie viens de prendre à nouveau un tournant auquel je ne m'attendais pas une seule seconde. C'est sans réellement m'en rendre compte que j'avais mise toutes mes affaires dans une valise avant de m'arrête pour prendre conscience de mon geste et de ce qui allait bien pouvoir en découler, mais il avait été beaucoup trop loin cette fois. J'accepte le fait qu'il ne soit pas toujours présent, parce qu'il pouvait se montrer romantique et tellement attentionné que j'en oubliais ses absences et même ses accès de colère. Il avait souvent levé la main sur moi, sans pour autant aller plus loin et le fait qu'il s'excusait toujours ensuite me redonnait confiance en lui. Mais là, c'était vraiment trop dur et je sais que je n'arriverais pas à lui pardonner avec seulement quelques mots de sa part. Cette petite fête ne me disait rien, mais elle était en l'honneur de l'anniversaire de mon frère et je ne pouvais décemment ne pas y aller. La soirée avait plutôt bien commencé, bien que je n'avais pas pu boire une seule gorgée d'alcool, cette grossesse je l'attendais depuis bien trop longtemps pour faire une bêtise. L'ambiance était bonne et j'avais eu la chance de revoir des personnes que je n'avais pas vu depuis un petit moment, discuter avec eux de tout et de rien. Puis, j'avais eu envie de prendre l'air et en sortant sur la terrasse de la maison, mon coeur avait pris le coup le plus terrible de mon existence. Tommy était là, en train d'embrasser une blonde à pleine bouche tout en laissant courir ses mains sur son corps. La stupeur avait été telle que j'en avais fait tomber mon verre, mais cela n'avait pas arrêté le couple. C'est avec le peu de dignité qui me restait que j'avais repris le chemin de l'appartement et que j'avais agi comme une automate, mettant chacune de mes affaires dans cette maudite valise qui était près de moi. J'ai bien été idiote de le croire quand il me disait que j'étais la seule femme dans sa vie, qu'aucune fille ne m'arrivait à la cheville, il avait profité de ma naïveté. Le bruit de la porte d'entrée me fait sursauter et je me retrouve devant lui sans réellement m'en rendre compte. « Tu aurais pu me dire que tu étais parti, non ? Je t'ai cherché partout et c'est cette idiote de Shelby qui m'a dit que tu étais partie comme une furie... » Sa phrase reste en suspend quand il remarque mon bagage, je n'avais jamais été aussi loin et je vois la peur peindre doucement les traits de son visage, ainsi que la colère. « Je peux savoir ce que tu fais ? » J'attrape ma valise et le bouscule, il faut que je rejoigne le plus rapidement la porte, mais même saoul il a toujours un temps d'avance sur moi. « Je t'interdis de partir. » Excédé, je me retourne et pour la première fois de ma vie je gifle quelqu'un, malgré tout je ne ressens aucun sentiment de bien-être m'emplir comme je l'imaginais. Toutefois, cela augmente sa colère à lui et il m'attrape pour me coller contre le mur, la fureur fait flamboyer son regard. « Tommy, s'il te plaît, ne me fait pas de mal... Pense au bébé. » Je n'avais pas encore eu la chance de lui annoncer la nouvelle et il reprit ses esprits avant de planter ses yeux dans les miens pour voir si c'était la vérité. Convaincu, il me relâche avant de poser ses lèvres sur les miennes et de poser ses mains sur mon ventre. Je me dégage rapidement et laisse une unique larme couler sur ma joue. Je reprends ma valise avant de trouver le courage de parler. « Je m'en vais et rien de ce que tu pourras me dire ne me retiendra, j'ai supporté beaucoup de choses pour toi Tommy... Mais ce soir, tu as été beaucoup trop loin, je t'ai vu avec cette fille... Tu viens de me donner le coup de grâce. » Son air change tout de suite et il comprend enfin que je ne changerais pas d'avis. « Je ne voulais pas, c'est la première fois, cela ne veux rien dire pour moi. » Je baisse la tête et m'approche de la porte avant de l'ouvrir pour quitter ce qui est devenu ma maison depuis huit ans maintenant, l'air blessé de Tommy me brise littéralement le coeur. « Peut-être, mais je ne peux pas accepter que le père de mon enfant puisse m'être infidèle. Je t'aime moi, mais je ne pense pas que cela soit encore réciproque. » Je referme la porte derrière moi, un cri de détresse veut quitter ma gorge, mais je le retiens. Les escaliers me semblent interminables pendant que je prends conscience d'une chose, mon futur est toujours aussi incertain.

~ FEEL SO FREE ~
PSEUDO : Marine. PRENOM : Marine. AGE : Dix-huit ans. AVATAR : Emily VanCamp. UN COMMENTAIRE ? : Forum tout simplement magnifique et de plus l'accueil est plus que chaleureux.


Dernière édition par Danielle Marsden le Lun 13 Mai - 14:37, édité 7 fois
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Message (#) Sujet: Re: faites l'amour pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires - dani   faites l'amour pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires - dani EmptyLun 13 Mai - 11:12

Emily. faites l'amour pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires - dani 2763270137
Bienvenue. I love you
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Message (#) Sujet: Re: faites l'amour pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires - dani   faites l'amour pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires - dani EmptyLun 13 Mai - 11:38

Je te souhaite la bienvenue parmi nous faites l'amour pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires - dani 2124793060
Emily t'es réservée pour une semaine, bonne chance pour ta fiche Wink
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Message (#) Sujet: Re: faites l'amour pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires - dani   faites l'amour pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires - dani EmptyLun 13 Mai - 12:41

    Merci beaucoup pour l'accueil ainsi que pour la réservation de l'avatar faites l'amour pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires - dani 2970661624. Je m'incline devant vos choix d'avatars, entre Alyssa et Ryan faites l'amour pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires - dani 3381738714.
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Message (#) Sujet: Re: faites l'amour pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires - dani   faites l'amour pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires - dani EmptyLun 13 Mai - 15:08

Tu écris vraiment très bien c'était un plaisir de lire ta fiche faites l'amour pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires - dani 4170629200
Je valide & amuse toi bien I love you
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Message (#) Sujet: Re: faites l'amour pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires - dani   faites l'amour pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires - dani EmptyLun 13 Mai - 15:13

    Oh merci beaucoup pour ce compliment et pour la validation.
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